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VIDEOS

Sans titre, 2010.

Vidéo-diaporama, 3’52”.

Images : domaine public - internet

Montage diaporama et audio : Johanna Falkenberg.

 

Vidéo montée à partir d’images issues du flux internet et d’extraits de discours non-violents mêlés à des discours politiques actuels.

Parmi lesquels :

Ghandi, discours enregistré à Kingsley Hall en 1931;

Martin Luther King Jr., I have a dream, 28 août 1963;

Joseph Lanza del Vasto, entretien à propos de la guerre extrait du journal télévisé de 20h, 18 octobre 1973.

Divers extraits d'intervention publiques de Nicolas Sarkosy, alors président de la république.

 

L’exorcisme de l’absence, Mr. Y., 2011.

Vidéo d’animation, 1min 40sec.

Bande son composée d’extraits de : « Un homme qui dort », de Georges Perec ; « Un dimanche à la campagne », de Bertrand Tavernier ; « Ascenseur pour l’échafaud » et « Les amants », de Louis Malle.

 

Dessins, photographie, montage audio et vidéo stop motion : Johanna Falkenberg.

 

Sept temps séparés par un écran noir vont nous permettre de marquer les sept jours de la semaine, et le quotidien ainsi raconté d’un vieil homme. Monsieur Y. vit dans un hôpital gériatrique et depuis 20 ans, tous les jours, il dessine les silhouettes colorées de sa femme et de ses deux filles, qui ont cessé de le visiter. De toute sa force il exorcise ainsi leur absence, avec pour seul cri le pastel qui se casse sur sa feuille. Voici dans cette vidéo, modestement interprété, l’ordinaire d’un homme remarquable, qui semble chercher dans son œuvre le moyen de se souvenir sans se laisser submerger par le manque ou par le vide.

Un "mauvais" goût, 2011.

Vidéo-montage, 3min 35sec.

Montage audio et sonore : Johanna Falkenberg.

 

Montage vidéo à partir des images du documentaire de Jean-Christophe Averty : "A soft self portrait" datant de 1970. Bande son : Gilbert Montagné, "Les sunlights des tropiques", illustration sur le thème du gag. Jusqu'où peut aller l'humour?

Nam June Paik, Jud Yalkut : La Monte Young mix, 2011.

Vidéo-montage, 4min 02sec.

Montage audio et vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Essai sur la rencontre, par un croisement de médias qui auraient pu se croiser dans la temporalité réelle.

Electronic Moon, de Nam June Paik et Jud Yalkut monté sur une bande sonore enregistrée dans la Dreamhouse de La Monte Young, à Lyon.

Blow up, 2011.

Vidéo, Diaporama, 3min 16sec.

Bande son composée d’extraits de vidéos issues de Youtube (« Bébé qui rit », « Tapping : how to deal with negative emotions »), ainsi que des films suivants : « L’armée des douze singes », de Terry Gilliam « Le Projet Blair Witch » (The Blair Witch Project), de Daniel Myrick et Eduardo Sánchez « Self control » (Anger management ), de Peter Segal « Fight Club », de David Finsher.

Musique extraite du film « Un homme qui dort », de Georges Perec.

Image : domaine publique (amateur)

Montage audio et vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Plan fixe sur un couloir désaffecté. Seul l’éclairage change, progressivement, de l’ombre à la lumière, puis vers le retour à l’obscurité, figurant le passage des heures. La bande son se charge de nous raconter de multiples émotions dispensées à la manière d’une pièce musicale, suivant le même patron que la lumière : crescendo — decrescendo. La combinaison image fixe — son favorise l’amplification des émotions qui sont comme autant de témoignages suspendus dans l’atmosphère du couloir, comme si on pouvait écouter aux murs.

Répétition si-métrique, 2012.

Vidéo — Diaporama, 3min 36sec, en boucle.

40 photographies issues d’internet, en noir et blanc.

Montage : Johanna Falkenberg.

 

Après un texte de présentation sur la symbolique de la gauche et de la droite, sont présentées successivement les symétries respectives du visage de vingt personnalités hautement médiatisées, toujours dans le même ordre : d’abord deux côtés gauche, puis deux côtés droit, provenant de la même photographie.

Invitation à la réflexion sur la dualité de chaque personnage par la répétition.

Sont représentés, dans l’ordre d’apparition :Mohandas Karamchand Gandhi, Adolph Hitler, Eva Perón, John Fitzgerald Kennedy, Marilyn Monroe, Jackie Kennedy, Carla Bruni, Nicolas Sarkozy, Angela Merkel, Barack Obama, Michelle Obama, Martin Luther King Jr, Nelson Mandela, Hilary Clinton, Monica Lewinsky, George Bush, Ben Laden, Margaret Thatcher, Tony Blair et Lady Diana.La provenance des photographies illustre aussi la répétition, internet donnant toujours accès aux mêmes images, diffusées sans fin sur toute la planète.

Machine à faire des oeuvres d’art, 2011.

Vidéo numérique, 0min 43sec.

Images, montage vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Interrogation sur les processus de création picturaux liés au mouvement, à la danse.

Réalité augmentée, 2012.

Vidéo, Diaporama, 5min 48sec.

Diaporama, montage audio et vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Essai sur le racisme.

Extraits sonores divers extraits de l'émission Le Zapping de Canal + et autres vidéos publiées en masse sur internet.

Je me rappelle... Yan Pei Ming, 2012.

Vidéo, Webcam, 4min 21sec.

Images, montage vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Essai sur la mémoire, une autre utilisation de la webcam pour rentrer dans l'intimité de la gestuelle fantasmée des portraits de Yan Pei Ming...

Inefficacité utile, 2012.

Vidéo numérique, 1min 56sec.

Performance, montage vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Essai autour de l'utilité et de l'efficacité.

Playing with Gravity, 2012.

Vidéo numérique, 2min 28sec.

Images, montage audio et vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Ce travail a été réalisé dans le but d’étudier les relations entre le corps humain et l’élément aquatique. La chorégraphie est une improvisation sur le mouvement des vagues en analogie au mouvement du corps dans l’eau.Afin de recréer une impression proche de celui ci, la vidéo a été ralentie et certains passages sont diffusés en sens inverse, donnant une fluidité du mouvement relativement atypique. De même, le corps est présenté à l’envers (sol au plafond), afin de rappeler la nage.A l’ère du virtuel, comment la technologie peut elle nous aider à retrouver un lien avec les éléments, en passant par notre propre corps ? Certaines études sur la mémoire et la plasticité neuronale, menées entre autres par les neuropsychiatres Boris Cyrulnik et Jean-Michel Oughourlian, semblent prouver que l’identification dans une situation virtuellement reconstituée, n’est possible que grâce au souvenir de cette même situation dans la vie réelle. Si le corps se souvient des sensations alors éprouvées, il peut les retrouver dans la mémoire et les faire éprouver dans le corps, même un long moment après.Résultat d’expériences multiples, le projet tente de répondre aux questions suivantes : comment reconstituer de façon artificielle une sensation, et retrouver ainsi une affinité perdue avec un élément naturel ? Comment communiquer son appartenance à cet élément naturel sans le mettre directement en jeu ?

Autoportrait, 2012.

Vidéo, 8min 39sec.

 

Extraits de Waking life, de Richard Linklater; Tree of life, de Terrence Malick; 28 jours plus tard, de Danny Boyle.

Texte : Johanna Falkenberg. Extrait du poème Chanson sur l'enfance de Peter Handke.

Montage audio et vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Divers extraits issus d'internet (documentaires animaliers, publcités, etc.)

Archives personnelles (vidéo et photographiques).

Névro-prose, 2012-2014.

Vidéo numérique, 6min 40sec.

Images, montage audio et vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Pour les besoins de cette expérience sur les formes que prend la communication, je me suis référée à un protocole de dix points précis dont le respect me paraissait essentiel.

Mon environnement social serait fragmenté en deux groupes distincts : le tribal (connaissances, amis, proches, etc.) et le collectif (personnes inconnues choisies de façon aléatoire). Mon propre point de vue serait reflété dans la catégorie : individuel.

Grâce au respect des dix points de la « règle du jeu », je devais obtenir au minimum un mot par jour, dans le meilleur des cas une phrase, (telle que « Le présent épuise la promesse brune et banale. ») et ainsi constituer une sorte de recueil de poésie. A chaque jour correspondait aussi une couleur ou une image, destinée à créer un paysage. Le protocole a du être modifié une fois par soucis d'honnêteté vis à vis du projet.

 

Mémoire adhésive, 2013.

Vidéo numérique, 3min. 33sec.

Images, performance : Charly Graviassy et Johanna Falkenberg.

Montage vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Pendant la première année de master je me suis majoritairement axée sur la vidéo et sur la performance. Charly Graviassy et moi avons de nouveau travaillé en binôme, à partir de la ré-activation d’une performance d’Esther Ferrer, Le chemin se fait en marchant. J’avais, depuis ma rencontre avec l’artiste lors de l’exposition du FRAC de Rennes l’année dernière, vraiment envie de tenter de me réapproprier cette performance en particulier, que je trouvais simple et extrêmement propice à créer des rencontres.

J’avais envie de la reprendre sous forme d’exercices de danse pour trouver une gestuelle propre et créer des phrases variées pour les amener à une pratique publique.

Charly était très intéressé par la trace de la performance, par le jeu à créer afin d’aller vers le public, sur le type d’action à mettre en place et sa forme de présentation. De mon côté, j’avais envie d’étoffer réellement ma pratique de la performance artistique, de m’interroger sur ses liens à la documentation.

Je voulais trouver une façon d’utiliser une performance comme matière d’une vidéo qui ne serait pas documentation mais œuvre autonome.

Je voulais aussi trouver le moyen de valoriser les 2 expériences (performative et vidéo) afin de les mettre en parallèle et de mettre en évidence plusieurs questionnements particuliers en art contemporain : la question de la trace, de l’immatérialité de l’objet d’art, de l’art même sans objet, du fétichisme lié aux objets de performance, des qualités inhérentes à la vidéo qui permettent de transcrire une expérience et de s’en distinguer presque totalement…

 

Processus de recherche et mise en valeur, documentation retravaillée, 2013.

Vidéo numérique, 3min. 55sec.

Performance : Charly Graviassy, Gabriel Ahumada, Johanna Falkenberg.

Images : Gabriel Ahumada, Johanna Falkenberg.

Montage vidéo et sonore : Johanna Falkenberg.

 

 

Comment mettre en valeur le processus de recherche pour le re-enactment de la performance d’Ester Ferrer? Essai vidéo-témoin.

In a language, a response to Mel Baggs, 2015.

 

Vidéo numérique, 12min. 51sec.

Images, montage vidéo et audio : Johanna Falkenberg.

Son : Claire et Johanna Falkenberg.

 

Danseurs : Julie Moulin, Francine Dilling, les enfants de l'IME Le Triskell ( à Bruz), Cécile Barbedette, Clémence Le Bras, Saerom Sul, Véronique, Yannick, Elizabeth (les éducateurs).

 

L'ultime version, 3 ans de travail, de retouches.

Commentaire de description postée sur Youtube :

 

Ceci est une vidéo que j'ai faite en « réponse » à celle d'Amanda Baggs, « In my language », que vous pouvez trouver ici :
https://www.youtube.com/watch?v=JnylM1hI2jc

Je danse avec des enfants et des adolescents autistes et/ou déficients mentaux (je préfère le terme : différents)
Voici comment la vidéo a été réalisée : pendant quelques semaines, j'avais toujours une caméra sur moi, et je me suis donné le défi de prendre un moment tous les jours pour penser comme j'imaginais que pensait une personne autiste. Pour moi, cela voulait dire ne donner mon attention qu'à un détail à la fois pour m'en imprégner, être attentive à des choses dont les gens se fichent habituellement. C'était comme m'arrêter pour sentir au lieu de voir les choses. Et j'ai essayé de le mettre en images après.
J'ai choisi de prendre ce qui représente une semaine de vidéos (8 jours) et un extra réalisé à partir d'une répétition pour un spectacle avec les enfants de l'IME.
Ma soeur et moi avons écouté les sons que j'avais enregistrés des enfants alors que nous dansions, et nous avons essayé d'utiliser le même genre de sons, mais sans les penser, plutôt vraiment en les ressentant, comme si nous pouvions voyager dans un endroit où tout ce que nous pourrions voir et toucher, entendre et sentir serait fait de sons, et que nous pouvions changer le monde autour de nous grâce à ces sons.
Ensuite je les ai inversés pour les rendre plus profonds et plus « intérieurs », et j'ai choisi un morceau pour chaque vidéo à partir de mes émotions.
Cette vidéo n'a pas été réalisée par curiosité mal saine ni pour être déplacée. Elle a été faite pour montrer que nous pourrions aussi essayer de parler un autre langage, et en voici un premier pas, qui m'a pris 3 ans.
J'espère que vous apprécierez et que vous le prendrez pour ce que c'est : juste un essai de changement de perspective.

Autoscopie version 4.0 : Star Wars reference, 2014.

Vidéo numérique, 21sec.

 

Images : Charly Graviassy.

Montage audio et vidéo : Johanna Falkenberg.


 

Quand je regarde comme ça, 2014.

Vidéo numérique, 37sec.

 

Images : Charly Graviassy

Montage audio et vidéo : Johanna Falkenberg

Voix off : Chantal Lauby dans Astérix, Mission Cléopatre d'Alain Chabat, 2001.

Je raconte ma vie… De quelqu'un d'autre en fait, 2014.
Vidéo numérique, 8min 29sec.

Interprétation libre de la partition de la performance d'Esther Ferrer : Les voy a contar mi vida.

Le danseur prend une chaise et raconte sa vie, dans sa langue préférée : le mouvement.
Pendant une minute il livre son corps à son histoire, qui s'écrit dans l'espace. Passé cette minute, n'importe qui endosse le rôle d'interprète et donne sa voix et ses mots aux gestes.
Ce sont des histoires d'un instant qui s'écrivent en même temps et tentent de se rencontrer.

Travail en collaboration avec l'ACP & invités.

 

Danseurs et interpètes, par ordre d'apparition : Lucille Quillory Seguin, Gabriel Ahumada, Francine Dilling, Julie Moulin, Maximilien Cottinet, Johanna Falkenberg.

Images, prise de son, montage vidéo et sonore : Johanna Falkenberg.
 

Le rôle de ta vie, 2014.
Vidéo numérique, 17min 32sec.

Images, montage audio et vidéo : Johanna Falkenberg.

 

Essai de mise en perspective des effets pervers de l'autoscopie.

Je tape : « je raconte ma vie » sur Youtube, et je regarde les résultats. J'en extrais le script et je les rejoue pour me les approprier, comme si c'était un casting, le casting du rôle de ma vie.
On remarque très vite le décalage du texte écrit avec ce qui se joue en images et en son ; ce sont en fait les commentaires des vidéos originales, copiés et collés en sous-titres.
Tandis que le cadrage et le noir et blanc rappelle les Screen Tests d'Andy Warhol, la violence du texte écrit nous saisit. Quelle valeur prend le questionnement alors naissant du rapport à la caméra et de sa place dans l'art à l'heure d'internet et des réseaux sociaux ?

Textes lus et écrits provenant tous de vidéos publiées sur l'hébergeur Youtube, en octobre-novembre 2014.

Se perdre. Trouver l'autre. Version 1.0, 2014.

Vidéo numérique, 7min 37sec.

Première d'une série de 4 vidéos.

Retrouver le lien.
Ici "l'autre" a prêté une photographie et un morceau de musique qu'il aime et qui par conséquent représente une empreinte de lui.
Le danseur découvre au moment de sa performance l'image et la musique auxquelles il doit s'identifier. Tout le reste n'est qu'improvisation.
La vidéo tente d'exploiter la superposition des espaces et des temps. Le temps de la performance est unique, pas de retour en arrière, pas d'arrêt sur image, pas de prise de recul ni d'hésitation possible... Les sous-titres qui viennent ponctuer la danse sont les pensées du danseur, ses impressions après coup. Ces mots viennent s'approprier un espace dont on les avait retiré. Ils viennent donner la conscience d'un décalage entre l'action et la réflexion, viennent créer un dialogue et attirer l'attention sur leur propre poids.

Travail en collaboration avec l'ACP (Atelier chorégrapho-plastique).

Images, montage, performance : Johanna Falkenberg.
Avec la participation de Julie Moulin, dans le rôle de « l'autre ».

Se perdre. Trouver l'autre, Version 2.0, 2014.

Vidéo numérique 6min 33sec.

Deuxième vidéo d'une série de 4.

 

 

Images, montage sonore et vidéo : Johanna Falkenberg.

Danseur : Maximilien Cotinet.

Avec la participation de Francine Dilling, dans le rôle de "l'autre".

Se perdre. Trouver l'autre, Version 3.0, 2015.

Vidéo numérique 3min 48sec.

Troisième vidéo d'une série de 4.

 

Images, montage sonore et vidéo : Johanna Falkenberg.

Danseuse : Marie-Amandine Lor.

Avec ma participation dans le rôle de "l'autre".

Se perdre. Trouver l'autre, Version 4.0., 2015.

Vidéo numérique, 6min 50sec.

Dernière vidéo d'une série de 4.

 

Images, montage vidéo et sonore : Johanna Falkenberg.
Danseuse : Francine Dilling
Avec Maximilien Cotinet dans le rôle de "l'autre".
 

© 2014 par Johanna Falkenberg.

"The pursuit of truth and beauty is a sphere of activity in which we are permitted to remain children all our lives".

Albert Einstein

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